Leurs mots sur Naguib Mahfouz

- Le président égyptien Hosni Moubarak a souligné que les romans du Prix Nobel de littérature 1988 exprimaient "les valeurs communes à l'humanité (...), les valeurs de la tolérance, contre l'extrémisme".

- L'écrivain marocain Tahar Ben Jelloun a souligné que "ce visionnaire courageux" a été "comme Balzac et Zola, comme Tolstoï et Faulkner, témoin de son époque, témoin à l'écoute de son peuple, celui qu'il côtoyait quotidiennement dans sa rue, dans son café".

-  Le romancier égyptien Sonallah Ibrahim a estimé que "Naguib Mahfouz est pour le roman arabe ce que sont les pyramides pour l'Egypte", soulignant que "chacun de ses romans constitue une nouvelle expérience littéraire".

- Son éditeur français chez Actes Sud, Farouk Mardam-Bey, a rappelé que Naguib Mahfouz était "le vrai père fondateur du roman arabe dans sa forme moderne. Il a donné l'impulsion à partir des années 40. Une nouvelle génération d'écrivains s'est réclamée de lui et lui est restée fidèle."

Comments

[Stalker]

Pas de problème voyons et puis, je vous rappelle que mon adresse mail est indiquée de façon plutôt visible sur mon blog...
Cordialement.

PS : j'évoque aussi le très grand Tarkovski sur ce même blog...

[Amel Zmerli]

J'eus préféré vous remercier sur votre log, mais il n'y a pas possibilité de laisser un commentaire, je ne vous ai pas cité car Stalker est pour moi d'abord le film du Maître avant toute chose, effectivement si Stalker est tombé dans le domaine public, j'aurais pu y penser et nommé mon blog Char, en référence à René... j'ai mis un peu de temps à comprendre, (mesure que vous avez pu relever), qu'il ne s'agissait pas d'un blog sur le Maître de Solaris ou de Nostalgia... Je m'en vais vous citer derechef. Toutes mes excuses pour cette omission,
bonne journée à vous,
Amel Zmerli

[Stalker]

Bonjour.
Lorsque vous citez, comme cela se fait communément je crois, indiquez vos sources, c'est je crois une pratique de la plus élémentaire politesse.
Je fais référence à votre commentaire chez le Marsupilami verbeux, id est : l'ornithoscope.
Cordialement.