1 décembre 2006
Manolo Valdés hier...
la Dona s'est déshabillée, les arcs du noir royal sont tombés : les bras ourlent les seins, le ventre, les bras, les épaules encore prises dans un manteau d'encre, des bras étreignent le corps qui se déroule du sommeil du roi ; il fait encore noir sur la Dona, à l'intérieur de ce noir qui recule, le corps avance ; il fait de plus en plus corps dans la nuit de la Dona qui s'approche depuis que le noir s'éloigne dans les couleurs de l'histoire.
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