Aleph Editions, en 2006
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catalogue 2006 Éliane Burnet in
La bande sonore
p. 27 “ (Thierry de Duve1) La culture occidentalebriser le langage pour toucher la vie2” ? Tenter de retrouverN’importe3”, même ces artistes ne savent 2 3 #1 La bande sonore Esquisse d’une théorie de l’oralité dans la littérature et au cinéma Jean-Paul Gavard-Perret, Éliane Burnet, Pascal Bouvier, Serge Gaulupeau, Sylvain Santi, Jean-Michel Hétru Autour du rôle particulier joué par la bande-son dans l’oeuvre cinématographique, radiophonique, vidéographique, voire littéraire. Parmi les oeuvres analysées : des pièces radiophoniques de Samuel Beckett, « La Luna » de Bernardo Bertolucci, des enregistrements de la voix de Georges Bataille, quelques oeuvres picturales contemporaines. 85 pages 27 x 17 cm ISBN : 2-913351-03-4 gencod : 9782913351035 parution : 07/2002 prix public : { théorie et esthétique du cinéma Sylvain Santi in Dans « La conjuration sacrée », premier texte du premier numéro de la revue , Georges Bataille a cette affirmation radicale1 ». En articulant de la sorte la liberté2 » est liée au décèlement deAcéphale : « Réaliser l'accomplissementAcéphale à partir de 1936, un univers se dessine en effet, dont l'instabilité est la loi et le « mouvement à peu près explosif de la matière » le principe fondamental. Monde de mouvements, et en mouvement, « monde héraclitéen des fleuves et des flammes où le.... 4 5 Sylvain Santi, Éliane Burnet, Jean-Paul Gavard-Perret, Pascal Bouvier, Philippe Vadrot, Annie Stern Réflexions sur la façon de dire et de montrer le paysage au XXIe siècle. Ce livre aborde la question en s’appuyant sur de nombreuses disciplines comme l’art, l’esthétique, le théâtre ou les sciences et techniques. 110 pages 27 x 17 cm ISBN : 2-913351-04-2 gencod : 9782913351042 parution : 10/2003 prix public : 30 euros { art du paysage, parcs et jardins) perception géographique | paysage : philosophie | nature (esthétique) #2 Le paysage et la question du regard Pascal Bouvier in Sémiologie du secret p. 39 Le thème du secret renvoie à une multitude de domaines qui vont de la politique au droit en passant par la psychologie ou la morale. Il paraît bien difficile d’en théoriser le sens, les expériences multiformes de celui-ci décourageant très vite toute volonté de systématisation. Le secret s’il s’enracine dans une expérience singulière qu’il conviendra de décrire est d’abord transmis par une suite d’images ou de clichés. Il se révèle et nous fait passer de l’intériorité à l’extériorité, des ténèbres à la lumière, du voilé au dévoilé, etc. L’examen de ces formes banales pourtant permet au moins de définir une base pour toute réflexion sur sa nature. Le secret est impensable sans une coupure ontologique entre l’être et le paraître, entre la substance et ses manifestations. Il n’y a, en effet, de secret que pour une pensée qui distingue l’apparence et le réel et qui admet un point de passage entre les deux. Là où tout est manifeste ou transparence le secret est impossible, là où tout est caché où rien ne se révèle il l’est encore moins. Il y a donc bien pour reprendre le titre d’un 6 7 Éliane Burnet, Pascal Bouvier, Catherine Lenoir-Bellec, Sylvain Santi, Nathalie Solomon, Lydie Rekow, Yannick Bressan L’analyse de diverses oeuvres littéraires (Émile Zola, Eugène Sue, Balzac…) et artistiques (Christian Boltanski, Mona Hatoum, Paul-Armand Gette…) tente de dessiner les contours de l’intimité et du secret de l’être et leur représentation dans le réel. 140 pages 18 x 14 cm ISBN : 2-913351-05-0 gencod : 9782913351059 parution : 08/2004 prix public : 24 euros { philosophie et théorie des arts | esthétique intimité (psychologie) | beaux arts | littérature (études et théories) #3 Sémiologie du secret Représentations du secret et de l’intime dans les arts et la littérature Pascal Bouvier in L’ombre, le double p. 13 Le thème de l’ombre comme tous les grands thèmes qui intéressent l’histoire de la pensée humaine concerne les sciences et l’esthétique. L’ombre n’est pas, par ailleurs, pensable sans la catégorie du double : elle redouble un réel et elle est en ce sens une question physique tout en dépassant le simple problème de la géométrie ou de l‘astronomie. Si nous examinons l’histoire des représentations humaines nous constatons assez facilement que l’être humain a d’abord entretenu un rapport poétique et mystique à l’image de l’ombre. Est-elle d’ailleurs une image plutôt qu’un concept ? Réfléchir sur l’ombre c’est d’abord réfléchir sur un ensemble de rêveries et de croyances que les anthropologues et les ethnologues ont mis en valeur. Dans un premier temps nous tenterons de comprendre cette force de l’archaïsme et du pré-rationnel qui nous éloigne d’une compréhension objective du phénomène de l’ombre. La définition de cette dernière a posé une suite de problèmes en apparence insolubles aux savants les plus astucieux : est-elle un simple reflet ou a-t-elle une existence propre ? Est-elle une substance ou est-elle un moindre-être 6 9 Pascal Bouvier, Marta Caraion, Murielle Martin, Anne Isabelle François, Laurence Decroocq, Eliane Burnet, François Granier, Pierre Kadi Sossou, Magali Nachtergael, Corinne Maury Quatrième opus de la collection Théories, cet ouvrage collectif procure des entrées de lectures pour appréhender les notions d’ombre et de double. Les auteurs offrent plusieurs points de vue philosophiques, esthétiques et littéraires autour de la fascination pour l’ombre, de la question du diable et son double dans le mythe de Faust, mais aussi chez des artistes et auteurs tels que Huysmans, Francis Bacon, Gérard de Nerval, Kleist, Sophie Calle ou Naomi Kawase. 288 pages 21 x 14 cm ISBN : 2-913351-07-7 gencod : 9782913351073 parution : 10/2005 prix public : { philosophie et théorie des arts | esthétique philosophie et théorie des arts | esthétique #4 L’ombre, le double Pascal Billon Grand, in Urbanisme et identités (à paraître) Au sortir de la seconde guerre mondiale, les membres de l’Internationale Situationniste dressent le constat d’un effondrement généralisé de la civilisation. La « planète malade », la culture décomposée, la vie aliénée dans le « spectacle », la vie perdue, sont les mêmes symptômes de cet effondrement, de ce « désastreux naufrage » dont « Elle est devenue ingouvernable, cette « terre gâtée » où les nouvelles souffrances se déguisent sous le nom des anciens plaisirs ; et où les gens ont si peur. Ils tournent en rond dans la nuit et ils sont consumés par le feu. Ils se réveillent effarés, et ils cherchent en tâtonnant la vie. Le bruit court que ceux qui l’expropriaient l’ont, pour comble, égarée.Voilà donc une civilisation qui brûle, chavire et s’enfonce tout entière. Ah ! le beau torpillage Guy Debord tire ici le bilan affligeant : 3 ! » Au début des années 1950, les situationnistes lancent une critique 10 11 { à paraître en octobre 2006 unitaire et révolutionnaire contre « la tendance totalitaire de l’organisation de la vie par le capitalisme moderne » qui entraîne une « crise... 1. Pascal Billon Grand La ville situationniste 2. Pascal Bouvier La ville : utopie et démocratie 3. Carlos F. Clamote Carreto La ville et les paradoxes de l’écriture médiévale 4. Josette A Wisman La ville femme au Moyen-Age 5. Frédéric Cantaroglou & Stéphane Sadoux La ville palimpseste entre science et fiction 6. Eliane Burnet Les villes miniatures : Fantasmapolis versus Necorpolis urbanisme | politique | histoire | architecture | esthétique #5 Urbanisme Marc Oliviéri in et identités Les larmes des dieux p. 11 L'auréole trouble d'une lune orange caresse de son toucher glacé les monceaux de nuages qui s'accumulent dans un ciel sombre et menaçant. Une pluie torrentielle bat les fenêtres des immeubles de cristal et de métal froid aux racines innombrables ancrées au plus profond des marécages. Des éclairs déchirent les ténèbres. Le long des quais balayés par les éléments déchaînés, s'amoncellent les cadavres des navires arrachés au fleuve. Les lumières de la ville s'éteignent peu à peu devant l'avancée inexorable des trombes d'eau mues par un vent tourbillonnant. Dans la nuit placardée de ses écrans publicitaires, un brouillard dense flotte mollement au dessus des flaques d'eau. On entend le crissement des 12 13 Dans un paysage lunaire d’arrière-monde, l’auteur nous invite à suivre la traversée fantomatique de ces dieux revenus sur terre pour découvrir le secret de leur inhumanité. « Les larmes des dieux » est un chant d’amour magnifique et terrible dont les voix magnétiques nous médusent et nous forcent à regarder par ces « yeux sans paupières » les profondeurs insondables de l’âme humaine. { littérature romans contemporains Les larmes des dieux Marc Oliviéri 88 pages 19 x 12 cm ISBN : 2-913351-06-9 gencod : 9782913351066 parution : 02/2005 prix public : 22 euros Directrice éditoriale : Muriel Seauve-Oliviéri Siège social : Le gour du loup 26120 Malissard F R A N C E | T é l . : 0 6 8 7 8 9 1 7 0 8 http://perso.wanadoo.fr/aleph.editions Ces librairies nous ont fait confiance : Aux amateurs de livres International Bookmaster | Centre d’Exportation du Livre Français Paris | Librairie MichèleParis | Librairie Privat Flammarion Lyon | Librairie Ombres Blanches Toulouse | Librairie Eyrolles Paris | AlizeAubervilliers | Librairie « Les Sandales d’Empédocle » Besançon | Librairie Le Livre Tours |Tarbes | L’appel du livre Paris | Librairie Le Moniteur Paris | FNAC Belfort - Paris - Noisy le Grand - Tours - Orléans - Créteil | Librairie Tschann Paris | Librairie Brouillon de Culture Caen | Librairie Goyard Nimes | LibrairieLyon | Librairie « Le Chercheur d’Art » Rennes | Librairie La Balustrade Paris | Librairie Decitre Lyon |Strasbourg | Librairie Dialogues Brest | La Procure Lyon | Librairie Georges Talence | ForumCherbourg | Librairie Sauramps Montpelllier | Jean Touzot Librairie Internationale Paris | Librairie Torcatis Perpignan | Librairie Garin Chambéry | Librairie Galignani Paris | Librairie Gibert Joseph Poitiers | Librairie Erasmus Paris | Forum du Livre Rennes | Librairie Machine à Lire Bordeaux | Librairie Colibrije Montreuil | Librairie JeanNice | Librairie L. Durance Nantes | Librairie de l’Université Caen | Librairie Geronimo Metz | La LibrairieAnnecy | Librairie de l’Université d’Aix en Provence | Librairie Contact Anger | Librairie Lettre Ouverte Paris Librairie Lemoine Bousval / | Librairie Le Parnasse Genève / Suisse | Tropismes Libraires Bruxelles / Belgique |Canada | Librairie du Boulevard Genève / Suisse | Librairie Albert Le Grand FribourgSuisse | Librairie Pax Liège / Belgique | Dokumente-Verlag Offenburg / Allemagne | Librairie La Fontaine Vevey / Suisse Librairie Mercier Bookstore Québec / / Jaurès Imaginaire Michel Descours Librairie Quai des Brumes Espace Culture Ignazi Société Française du Livre Librairie Privat Lheris ouvrage de Pierre Boutang (professeur émérite de la chaire de métaphysique à Paris IV) sur le sujet. Cet aspect ontologique...
: « L'homme est cependant demeuré libre de ne plus répondre
à aucune nécessité : il est libre de ressembler à tout ce qui
n'est pas lui dans l'univers
et la contestation du principe d'identité, Bataille signifie que la
réalisation de « la totalité humaine
la nature réelle de l'univers qui, d'emblée, apparaît aux antipodes
de la permanence et de la stabilité. En fait, dès « La conjuration
sacrée », il répond à l'un des points du programme rédigé
deux mois auparavant en vue d'
de l'être personnel dans l'ironie du monde des animaux
et par la révélation d'un univers acéphale, jeu et non état
ou devoir ». Au fil des articles publiés dans la revue
et la philosophie nous ont appris à considérer que le langage et
le discours expriment la fine pointe de l’humanité. Le mot serait
au cri ce que l’esprit est au corps ou l’animal à l’homme. La voix
doit étouffer le cri pour devenir le support du sens. Pour retrouver
la valeur du cri et de l’organique, ne faudrait-il pas échapper à ce
carcan culturel, suivant en cela l’injonction d’Antonin Artaud qui
souhaitait “
ce qui, dans le cri, ébranle notre corps et finalement hante notre
coeur et notre esprit. On aurait pu écouter le cri du nouveau-né, les
cris de la souffrance, de l’angoisse, de la passion ou de la révolte des
hommes ou encore les râles du moribond pour apprendre d’eux ce
qui s’agite toujours en chaque homme. On aurait pu interroger la
musique, l’opéra ou le théâtre, mais comme le dit Artaud : “
qui ne sait plus crier en Europe
plus que parler car ils ont oublié qu’ils avaient un corps. Sans totalement
souscrire au tranchant de ce jugement, il apparaît qu’il faut
traquer le cri de la vie là où on l’attendait le moins : dans un certain...