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Battants sur le toit
16 mai 2008

Hic

Pour des raisons que j'ignore, je ne parviens plus à déposer de commentaires sur les blogs amis... Si quelqu'un a recontré ce problème, et qu'il puisse m'indiquer la marche à suivre, je l'en remercie d'avance.

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Commentaires
A
Bien sûr, j'ai hésité à vous poster ce texte mais je ne savais pas par quelle voie vous l'adresser. J'ai ensuite compris que vous ne l'aviez pas fait apparaître. Ce qui importait pour moi était que vous puissiez le lire. <br /> Il n'y a aucun souci. Et s'agissant des rapprochements, ils permettent de regarder autrement son travail, de le voir autre que lorsqu'il a été conçu et cela ouvre des perspectives. La vraie question est peut-on faire comme si l'on regardait d'un oeil neuf?<br /> Cézanne voulait se brûler les yeux, d'autres s'enfermer dans la nuit totale pour espérer "voir"... Je ne vois dans vos commentaires que pertinence et perspicaité et vous voulez m'en priver? <br /> Merci cher P.P. de vous.
P
Chère Amel<br /> Je viens de prendre conscience d'une chose. Nous faisons tous et je l'ai fait aussi plus souvent qu'à mon tour, des commentaires sur vos oeuvres, certes souvent pertinents( et oui vous en êtes convenue...) , mais qui dans la plupart des cas mettent en avant notre aptitude à faire état de références. C'est à dire placer notre ego dans l'histoire de votre oeuvre ou d'une de vos oeuvres . Lier votre oeuvre et celle d'autres qui vous ont précédée. De quel droit? si ce n'est celui de dire "Je sais... J'ai l'oeil !" Le coup de la référence à Rothko que j'ai faite avant hier est la preuve de cette imbécillité prétentieuse (même si elle est patente) dont, on, je, puis être le sujet, l'auteur. Soit c'est évident, (ce qui entre nous était le cas) et ce n'est pas la peine de le dire, soit ça ne l'est pas et dans ce cas on ferme sa gueule. Quand je fait référence à Rothko, ce n'est pas de vous que je parle, ni de Rothko, mais de moi ! de moi qui sais... Ignoble !En fait, la critique c'est ça.... En revanche, les évocations littéraires me semblent plus intéressantes... mais cela reste des références, toujours, les correspondances incertaines... en même temps, le propre de l'oeuvre d'art est de " créer du lien" comme on dit aujourd'hui... donc du propos échangé... Bon, comme disait mon grand-père, "Tout ça c'est un bâton merdeux, on ne sait pas par quel bout le prendre !..." <br /> A quoi jouons nous ?
P
Chère Amel<br /> Je viens de prendre conscience d'une chose. Nous faisons tous et je l'ai fait aussi plus souvent qu'à mon tour, des commentaires sur vos oeuvres, certes souvent pertinents( et oui vous en êtes convenue...) , mais qui dans la plupart des cas mettent en avant notre aptitude à faire état de références. C'est à dire placer notre ego dans l'histoire de votre oeuvre ou d'une de vos oeuvres . Lier votre oeuvre et celle d'autres qui vous ont précédée. De quel droit? si ce n'est celui de dire "Je sais... J'ai l'oeil !" Le coup de la référence à Rothko que j'ai faite avant hier est la preuve de cette imbécillité prétentieuse (même si elle est patente) dont, on, je, puis être le sujet, l'auteur. Soit c'est évident, (ce qui entre nous était le cas) et ce n'est pas la peine de le dire, soit ça ne l'est pas et dans ce cas on ferme sa gueule. Quand je fait référence à Rothko, ce n'est pas de vous que je parle, ni de Rothko, mais de moi ! de moi qui sais... Ignoble !En fait, la critique c'est ça.... En revanche, les évocations littéraires me semblent plus intéressantes... mais cela reste des références, toujours, les correspondances incertaines... en même temps, le propre de l'oeuvre d'art est de " créer du lien" comme on dit aujourd'hui... donc du propos échangé... Bon, comme disait mon grand-père, "Tout ça c'est un bâton merdeux, on ne sait pas par quel bout le prendre !..." <br /> A quoi jouons nous ?
P
Orlando m'avait prévenu.<br /> Il est possible qu'un de vos commentaires ne soit pas apparu sur mon blog. Tout simplement parce que je considérai, non qu'il fût indigne d'y figurer, bien au contraire, mais tout simplement parce que je le trouvai, comment dire, trop intime pour le partager. On a beau, ce qui est mon cas, ne plus être un perdreau de l'année, on a encore des pudeurs... Et puis on peut être égoïste aussi un peu... Non ? <br /> <br /> Mais il est aussi fort possible qu'il y ait en même temps des problèmes techniques. <br /> <br /> Bises
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